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    Presse

     

     

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    Commerce de chiots entre les pays l'Est et la France
    Enquête dans un centre de transit espagnol, réservoir potentiel de la rage<o:p></o:p>


    One Voice s'est rendue en Espagne pour visiter les locaux d'un vendeur de chiots. Il nous a confié qu'il importait des chiots des pays de l'Est et les revendait à des grossistes français sans qu'ils soient vaccinés contre la rage et avec des pedigrees à la demande.<o:p></o:p>

    À l'est de l'Espagne se trouve un entrepôt qui constitue le siège d'un commerce de chiots fournissant des animaleries espagnoles, portugaises et françaises. En septembre 2004, un enquêteur de One Voice a visité les locaux de cette société et rapporte des informations sur les chiots, leur provenance et les acheteurs.<o:p></o:p>

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    Pas de vaccination contre la rage<o:p></o:p>

    Chaque mois, 500 chiots provenant essentiellement de Slovaquie, République tchèque et Belgique transitent par ce centre espagnol. Plus de 40 races figurent sur la liste des prix. Cela va des Yorkshire terriers au prix de 350 euros aux Rottweilers à 260 euros en passant par les Bouledogues français vendus 350 euros.<o:p></o:p>

    Lorsqu'ils arrivent à l'entrepôt, les chiots sont généralement âgés de 6 semaines. Ils sont revendus aux animaleries dans un délai de 2 à 3 semaines. La clinique vétérinaire appartenant à ce centre espagnol se charge de les vacciner contre la parvovirose et la maladie de Carré mais pas contre la rage, ils sont trop jeunes pour que cela soit efficace.<o:p></o:p>

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    Pedigree à la demande<o:p></o:p>

    Les chiots sont vendus sans pedigree, mais il est possible d'en obtenir sur demande. Le gérant prend alors les dispositions nécessaires pour obtenir des pedigrees identiques à ceux délivrés par l'association espagnole des pedigrees.<o:p></o:p>

    Les chiots sont stockés dans de grandes caisses en plastique dans deux pièces de l'entrepôt. Chaque pièce peut contenir environ 400 chiots. Au moment de notre visite, seuls une cinquantaine de chiots étaient “en stock” ; la plupart ayant été vendus à des animaleries deux jours auparavant.<o:p></o:p>

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    Une clientèle française<o:p></o:p>

    À plusieurs reprises, le gérant nous a confirmé que des acheteurs du sud de la France venaient s'approvisionner en chiots chez lui. Il a précisé qu'actuellement les Cavaliers King Charles étaient particulièrement à la mode en France et qu'il était en mesure de fournir toutes les races figurant sur sa liste de prix, et ce dans un délai d'une semaine.<o:p></o:p>

    Il nous a également expliqué qu'il préférait travailler avec la Belgique, la Slovaquie et la République tchèque, dont les “éleveurs” proposent des conditions de vente intéressantes.<o:p></o:p>

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    Un commerce florissant<o:p></o:p>

    Le propriétaire des lieux nous a montré un très grand bâtiment abandonné, probablement un ancien hangar d'élevage industriel, qu'il envisage de remettre en état pour stocker des chiots. Ses capacités d'accueil seront alors multipliées<o:p></o:p>

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